Fête nationale de l’indépendance de la République d’Arménie - Հայաստանի Հանրապետության ազգային անկախության օր - Serge Tateossian source Armenews 21/10/2022

Fête nationale de l’indépendance de la République d’Arménie

Le 19 octobre de 18 h 30 à 20 h 30, les magnifiques salons de l’hôtel Intercontinental à Paris, ont accueilli plusieurs centaines de personnes pour célébrer la fête d’indépendance de la République d’Arménie. $\PNG\ - 2.3 Mo$

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Pour la première fois, l’ancien Premier ministre, Edouard Philippe, a assisté à cette réception.

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Une forte délégation de députés de La France Insoumise avait également tenue à venir dire « son soutien à l’Arménie, à ce peuple que nous sommes en train de perdre », comme l’a expliqué Sébastien Delogu, député des Bouches-du-Rhône qui rentrait tout juste d’un voyage de onze jours en Arménie.

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Valérie Boyer, sénatrice et fidèle parmi les fidèles de la cause arménienne, était également présente,

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ainsi qu’Arnaud Ngatcha, adjoint à la Maire de Paris en charge des relations internationales et de la francophonie, qui a présenté la semaine dernière un voeu à la mairie de Paris demandant des sanctions contre l’Azerbaidjan.

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Des membres du parti présidentiel, Renaissance, dont le député Gilles Legendre, avaient également fait le déplacement.

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Tout comme un certain nombre d’élus d’Ile-de-France, de diplomates - Jonathan Lacôte et Henri Cuny - , de représentants des forces militaires de plusieurs pays,

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Des représentants des cultes,

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de Chypre et du CRIF avaient tenu à assister à cette cérémonie.

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Hovhannès Guévorkian Représentant du Haut-Karabagh en France a été chaleureusement accueilli par l’ambassadrice d’Arménie.

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Tout comme Ara Toranian, coprésident du CCAF

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et Jean-Christophe Buisson, directeur adjoint du Figaro Magazine et présentateur de « Historiquement show » sur la chaîne Histoire.

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Après les hymnes de l’Arménie et de la France, S.E. Hasmik Tolmajian a pris la parole pour rappeler que compte tenu du contexte particulièrement tendu, ce 31e anniversaire ne s’accompagnait pas de festivités. Elle a rappelé que l’Arménie voulait « rester un Etat souverain et démocratique », a redit que les liens entretenus entre Paris et Erevan étaient « privilégiés, uniques » et a retracé brièvement l’origine de cette amitié à travers le temps. En démarrant avec le royaume arménien de Cilicie. Les deux pays entretiennent un « dialogue politique intense » à tous les niveaux de la société. « Mon pays , l’Arménie, dit-elle, fait face à de graves défis existentiels, il est menacé par ses voisins qui veulent achever ce qu’ils ont commencé en 1915. L’Arménie vit un moment crucial de son histoire. Sans aide, cette jeune démocratie risque de disparaître. » Elle a enfin remercié tous ceux qui « par leur action, leur tribune alertent et sensibilisent » l’opinion publique.

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C’est Laurence Boone, secrétaire d’Etat auprès de la ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, chargée de l’Europe, qui au nom du gouvernement français lui a répondu : « La fête nationale de l’Arménie, c’est la fête de l’indépendance. Une indépendance durement acquise qui a permis au peuple arménien, fort de sa très longue histoire, de reprendre toute sa place dans le concert des nations. Une indépendance que la France a toujours défendue et défendra toujours. »

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