Les lauréats des Trophées des NAM ont été dévoilés
Les lauréats des Trophées des NAM ont été dévoilés
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Le 15 janvier, un public passionné s’est réuni dans les locaux de l’UGAB à Paris pour assister à la dernière étape des Trophées des NAM qui se sont déroulés avec le soutien de la Région Ile-de-France : l’annonce des gagnants.
Même si, comme Ara Toranian, directeur de la rédaction, l’a précisé d’entrée de jeu, » il n’y a ni gagnant ni perdant, mais des auteurs et des livres dont nous parlons des semaines durant, ce qui contribue à les faire connaître ».
De l’avis des jurés et des personnes présentes à cette soirée, cette huitième édition des Trophées a été particulièrement riche. Y compris en surprises.
C’est Gérard Malkassian pour la catégorie Essai qui a annoncé le premier lauréat :
Salim Dermarkar pour Arméniens et catholiques, de l’émancipation au schisme, Collection Cerf Patrimoines, 852 pages.
Mgr Elie Yeghiyan, Evêque Éparchie de Sainte-Croix de Paris des Arméniens catholiques de France était également présent.
Gorune Aprikian pour la catégorie biographie a enchaîné.
Elise Boghossian pour Les sacrifiés, au cœur de la tragédie arménienne ed Plon a remporté le Trophée.
Hamit Bozarslan a décerné le prix pour la catégorie Histoire
à Dugu Tasalp pour Cent ans de négation : les régimes mémoriels en Turquie de l’unionisme à l’islamisme aux éditions Karthala.
Michel Marian a exposé les délibérations des jurés de la catégorie roman avant de donner le nom tant attendu :
Susanna Harutyunyan pour Le village secret aux éditions Argonautes. L’auteure vit en Arménie et a été représentée par son éditrice, Katharina Loix van Hooff.
Enfin, le duo Laurent Mélikian-Charlie Sansonetti a décerné le prix de la catégorie BD à Firat Yasa pour Tepe aux éditions Cà et là. L’auteur qui vit en Turquie était représenté par son éditeur, Serge Ewenczyk.
Enfin, un prix spécial du jury a été décerné aux éditions Parenthèses pour leur travail ces dernières décennies.
La soirée s’est poursuivie autour d’un cocktail qui a été l’occasion pour beaucoup de faire la connaissance des auteurs.
Rendez-vous maintenant l’année prochaine.
Reportage photos Lydia Kasparian