Les lauréats des Trophées des NAM ont été dévoilés

Les lauréats des Trophées des NAM ont été dévoilés

16 janvier 2025

par

capucine

Culture

©armenews.com

2025

Le 15 janvier, un public passionné s’est réuni dans les locaux de l’UGAB à Paris pour assister à la dernière étape des Trophées des NAM qui se sont déroulés avec le soutien de la Région Ile-de-France : l’annonce des gagnants.

 

Même si, comme Ara Toranian, directeur de la rédaction, l’a précisé d’entrée de jeu,  » il n’y a ni gagnant ni perdant, mais des auteurs et des livres dont nous parlons des semaines durant, ce qui contribue à les faire connaître ».

 

 

De l’avis des jurés et des personnes présentes à cette soirée, cette huitième édition des Trophées a été particulièrement riche. Y compris en surprises.

 

C’est Gérard Malkassian pour la catégorie Essai qui a annoncé le premier lauréat :

 

 

Salim Dermarkar pour Arméniens et catholiques, de l’émancipation au schisme, Collection Cerf Patrimoines, 852 pages.

Mgr Elie Yeghiyan, Evêque Éparchie de Sainte-Croix de Paris des Arméniens catholiques de France était également présent.

 

Gorune Aprikian pour la catégorie biographie a enchaîné.

 

Elise Boghossian pour Les sacrifiés, au cœur de la tragédie arménienne ed Plon a remporté le Trophée.

 

Hamit Bozarslan a décerné le prix pour la catégorie Histoire

 

 

 

à Dugu Tasalp pour Cent ans de négation : les régimes mémoriels en Turquie de l’unionisme à l’islamisme aux éditions Karthala.

 

 

Michel Marian a exposé les délibérations des jurés de la catégorie roman avant de donner le nom tant attendu :

 

Susanna Harutyunyan pour Le village secret aux éditions Argonautes. L’auteure vit en Arménie et a été représentée par son éditrice, Katharina Loix van Hooff.

 

 

Enfin, le duo Laurent Mélikian-Charlie Sansonetti a décerné le prix de la catégorie BD à Firat Yasa pour Tepe aux éditions Cà et là. L’auteur qui vit en Turquie était représenté par son éditeur, Serge Ewenczyk.

 

Enfin, un prix spécial du jury a été décerné aux éditions Parenthèses pour leur travail ces dernières décennies.

La soirée s’est poursuivie autour d’un cocktail qui a été l’occasion pour beaucoup de faire la connaissance des auteurs.

 

 

 

Rendez-vous maintenant l’année prochaine.

 

Reportage photos Lydia Kasparian